La Côte d'Ivoire joue sa place pour le prochain Championnat d'Afrique des Nations en 2023. Après avoir fait un nul lors du match aller, les Eléphants portés par leur capitaine Essis Aka compte faire mieux et obtenir la qualification. Présent lors du dernier CHAN disputé par la Côte d'Ivoire, Essis Aka s'est exprimé auprès de la Fédération Ivoirienne de Football. Le joueur d'ASEC a affiché clairement les ambitions des siens.
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Avec du recul, quelle analyse faites-vous du résultat du match aller ?
Le résultat du match aller n'est pas décevant. C'est un score sur lequel nous ne devons pas cracher. On voulait à tout prix marquer et derrière, ne pas encaisser. Nous n'avons certes pas marqué mais nous n'avons pas encaissé. C'est bon à prendre. La qualification se joue sur deux matchs et le plus important, c'est de ne pas prendre de but à domicile. C'est ce que nous avons fait. Maintenant, il va falloir bien négocier le match retour.
Qu’est-ce qui n’a pas marché et que faut-il apporter aux acquis ?
Lors du match précédent, on n'a pas su concrétiser les actions et les occasions que nous avons eues. Nous connaissons notre valeur et nos qualités. Nous allons continuer à jouer sur notre valeur, bien garder le ballon, pour mieux construire nos actions. Nous sommes capables de le faire.
Vous sortez d’un stage bloqué à Yamoussoukro après le nul concédé face au Burkina Faso. Sur quoi avez-vous travaillez ?
Nous avons beaucoup travaillé sur la finition. Comme je l'ai dit tantôt, nous n'avons pas su concrétiser nos actions au match aller. Au football, pour gagner, il faut marquer. Et nous savons que nous devons marquer et refuser de nous faire peur comme au match aller. Nous devons arriver à perdre le minimum de balles et faire preuve de précision, de lucidité et d'adresse devant les buts. Nous devons refuser de donner le couteau à l'adversaire pour nous poignarder.
Certes c’est un match retour chez l'adversaire mais comment appréhendez-vous le fait de savoir que le match se joue au Maroc et non au Burkina ?
Même si c'était au Burkina, l'objectif pour nous ne change pas. Nous devons nous qualifier pour le CHAN. C'est en cela que nous ne devons pas cracher sur le résultat du match aller. Maintenant que nous nous retrouvons au Maroc, cela nous donne des raisons de croire encore plus en notre qualification. Parce que nous nous retrouvons sur un terrain neutre. Nous savons que mentalement, ils (les Burkinabè) vont se dire qu'ils sont chez eux mais pour nous, c'est du 50-50. Ça nous donne beaucoup plus de chance de pouvoir jouer crânement notre qualification.
A 48 heures de la rencontre, quel est l’état d’esprit du groupe ?
Le groupe est conscient de sa mission. Pour nous, c'est notre concentration qui fera la différence. Depuis le match à Yamoussoukro, le groupe est dans sa bulle et on travaille pour atteindre l'objectif qui est d'aller en Algérie en 2023. Le groupe est hyper motivé, l'état d'esprit est très bon. Une famille est née dans ce groupe et tout le monde est focus sur l'objectif final.
Que représente ce match pour vous et vos coéquipiers ? Est-ce que vous vous dites que c’est un devoir envers la nation ou c’est une occasion d’écrire votre histoire ?
Ce match représente pour nous une finale et nous devons représenter dignement la Côte d'Ivoire. Je ne dirai pas que c'est le match de notre carrière mais il en fera partie. Nous n'avons pas le droit de se louper. Par la grâce de Dieu, nous espérons sortir de ce match avec beaucoup de joie. C'est un gros challenge, en tant que capitaine mais aussi un défi collectif pour tout le groupe, l'encadrement, la Fédération et le football national.
Pour nous, c'est aussi un devoir de reconnaissance envers la nation pour la confiance placée en nous. Quand on a la chance de porter le maillot de son pays, il faut le mériter et tout donner pour ne pas avoir à regretter. C'est aussi une occasion pour la majorité d'écrire leur histoire. Représenter dignement la nation est un devoir et c'est ce devoir que nous devons accomplir.
Quel est le message que vous voudriez bien passer aux Ivoiriens, quand on sait que la Côte d’Ivoire a raté le dernier CHAN ?
Nous sommes certes au Maroc et nous sommes convaincus que les Ivoiriens, les supporters, nous soutiendront, qu'ils joueront leur partition. A notre tour, c'est de tout faire, par la grâce de Dieu, pour leur apporter cette qualification. Que chacun fasse ce qu'il a à faire. Après avoir manqué le CHAN 2020, nous voulons être de l'aventure en Algérie. Pour l'intérêt de la nation, nous sommes condamnés à être ensemble. On ne dira pas que ce sont les joueurs qui sont qualifiés, que c'est un individu qui est qualifié, mais la Côte d'Ivoire. Que ceux qui peuvent prier, le fasse pour le pays. De notre côté, on se battra pour leur apporter la qualification. C'est tous ensemble, unis et avec la grâce de Dieu qu'on ira décrocher cette qualification.
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Avec du recul, quelle analyse faites-vous du résultat du match aller ?
Le résultat du match aller n'est pas décevant. C'est un score sur lequel nous ne devons pas cracher. On voulait à tout prix marquer et derrière, ne pas encaisser. Nous n'avons certes pas marqué mais nous n'avons pas encaissé. C'est bon à prendre. La qualification se joue sur deux matchs et le plus important, c'est de ne pas prendre de but à domicile. C'est ce que nous avons fait. Maintenant, il va falloir bien négocier le match retour.
Qu’est-ce qui n’a pas marché et que faut-il apporter aux acquis ?
Lors du match précédent, on n'a pas su concrétiser les actions et les occasions que nous avons eues. Nous connaissons notre valeur et nos qualités. Nous allons continuer à jouer sur notre valeur, bien garder le ballon, pour mieux construire nos actions. Nous sommes capables de le faire.
Vous sortez d’un stage bloqué à Yamoussoukro après le nul concédé face au Burkina Faso. Sur quoi avez-vous travaillez ?
Nous avons beaucoup travaillé sur la finition. Comme je l'ai dit tantôt, nous n'avons pas su concrétiser nos actions au match aller. Au football, pour gagner, il faut marquer. Et nous savons que nous devons marquer et refuser de nous faire peur comme au match aller. Nous devons arriver à perdre le minimum de balles et faire preuve de précision, de lucidité et d'adresse devant les buts. Nous devons refuser de donner le couteau à l'adversaire pour nous poignarder.
Certes c’est un match retour chez l'adversaire mais comment appréhendez-vous le fait de savoir que le match se joue au Maroc et non au Burkina ?
Même si c'était au Burkina, l'objectif pour nous ne change pas. Nous devons nous qualifier pour le CHAN. C'est en cela que nous ne devons pas cracher sur le résultat du match aller. Maintenant que nous nous retrouvons au Maroc, cela nous donne des raisons de croire encore plus en notre qualification. Parce que nous nous retrouvons sur un terrain neutre. Nous savons que mentalement, ils (les Burkinabè) vont se dire qu'ils sont chez eux mais pour nous, c'est du 50-50. Ça nous donne beaucoup plus de chance de pouvoir jouer crânement notre qualification.
A 48 heures de la rencontre, quel est l’état d’esprit du groupe ?
Le groupe est conscient de sa mission. Pour nous, c'est notre concentration qui fera la différence. Depuis le match à Yamoussoukro, le groupe est dans sa bulle et on travaille pour atteindre l'objectif qui est d'aller en Algérie en 2023. Le groupe est hyper motivé, l'état d'esprit est très bon. Une famille est née dans ce groupe et tout le monde est focus sur l'objectif final.
Que représente ce match pour vous et vos coéquipiers ? Est-ce que vous vous dites que c’est un devoir envers la nation ou c’est une occasion d’écrire votre histoire ?
Ce match représente pour nous une finale et nous devons représenter dignement la Côte d'Ivoire. Je ne dirai pas que c'est le match de notre carrière mais il en fera partie. Nous n'avons pas le droit de se louper. Par la grâce de Dieu, nous espérons sortir de ce match avec beaucoup de joie. C'est un gros challenge, en tant que capitaine mais aussi un défi collectif pour tout le groupe, l'encadrement, la Fédération et le football national.
Pour nous, c'est aussi un devoir de reconnaissance envers la nation pour la confiance placée en nous. Quand on a la chance de porter le maillot de son pays, il faut le mériter et tout donner pour ne pas avoir à regretter. C'est aussi une occasion pour la majorité d'écrire leur histoire. Représenter dignement la nation est un devoir et c'est ce devoir que nous devons accomplir.
Quel est le message que vous voudriez bien passer aux Ivoiriens, quand on sait que la Côte d’Ivoire a raté le dernier CHAN ?
Nous sommes certes au Maroc et nous sommes convaincus que les Ivoiriens, les supporters, nous soutiendront, qu'ils joueront leur partition. A notre tour, c'est de tout faire, par la grâce de Dieu, pour leur apporter cette qualification. Que chacun fasse ce qu'il a à faire. Après avoir manqué le CHAN 2020, nous voulons être de l'aventure en Algérie. Pour l'intérêt de la nation, nous sommes condamnés à être ensemble. On ne dira pas que ce sont les joueurs qui sont qualifiés, que c'est un individu qui est qualifié, mais la Côte d'Ivoire. Que ceux qui peuvent prier, le fasse pour le pays. De notre côté, on se battra pour leur apporter la qualification. C'est tous ensemble, unis et avec la grâce de Dieu qu'on ira décrocher cette qualification.
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